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RDC: Les Caricaturistes De Presse Solaire Envers Stanis Bujakera - Société - RDCville

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RDC: Début Du Procès De Stanis Bujakera, Correspondant De Jeune Afrique / Stanis Bujakera: Demande De Libération Refusée Pour Le Journaliste / Affaire Bujakera: Refus De La Demande De Libération Provisoire Du Journaliste (2) (3) (4)

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RomeoRDC RomeoRDC le 31 octobre 2023 à 14:41

Depuis plus de sept semaines, Stanis Bujakera, le directeur de publication adjoint d'Actualité, est détenu à la prison de Makala, et la mobilisation en sa faveur ne cesse de croître. Au-delà des journalistes et des militants de défense des droits de l'homme qui ont exprimé leur solidarité avec lui, c'est maintenant au tour des caricaturistes de presse de se joindre à cette campagne de soutien en utilisant leur art pour faire passer un message fort.

La campagne #FreeStanis a été lancée pour attirer l'attention sur le sort de Stanis Bujakera, correspondant de Jeune Afrique et de Reuters, arrêté depuis le 8 septembre. Il est actuellement jugé devant le tribunal de Grande Instance de Kinshasa Gombe pour plusieurs chefs d'accusation, notamment "faux en écriture", "falsification des sceaux de l'État", "propagation de faux bruits" et "transmission de messages erronés et contraires à la loi". Ces accusations pourraient lui valoir jusqu'à dix ans de prison. Ses avocats dénoncent fermement une accusation montée de toutes pièces.

La campagne #FreeStanis a mobilisé un grand nombre de personnes, y compris des caricaturistes de presse et des artistes, sous l'impulsion de Damien Glez, dessinateur franco-burkinabé et confrère de Stanis Bujakera à Jeune Afrique. Glez a sollicité le réseau Cartooning for Peace, composé de dessinateurs de presse engagés, pour exprimer leur solidarité avec Stanis Bujakera à travers leurs créations artistiques.

Plusieurs dessinateurs de presse ont déjà répondu à cet appel, chacun utilisant son style distinct pour dénoncer l'arrestation et la détention de Stanis Bujakera. D'autres artistes, membres du réseau Africartoons, ont également promis de contribuer à cette initiative.

Ce projet met en lumière le pouvoir de la caricature pour transmettre des messages complexes de manière rapide et accessible à un large public. Les caricaturistes de presse sont des défenseurs de la liberté d'expression, et leur engagement en faveur de la cause de Stanis Bujakera témoigne de leur solidarité avec leurs confrères des médias dont les droits fondamentaux sont bafoués.

La mobilisation autour de la campagne #FreeStanis a suscité un large soutien, avec plus d'une centaine de personnalités et d'organisations congolaises, africaines et internationales exprimant leur indignation face à cette affaire. Des vidéos de soutien ont été diffusées, atteignant des millions de téléspectateurs à travers le monde.

La prochaine audience dans le procès de Stanis Bujakera est prévue pour le 3 novembre. Ses avocats continueront de plaider en faveur de sa libération provisoire. La question qui se pose est la suivante : comment les efforts conjoints de la société civile, des médias, des organisations internationales et des caricaturistes de presse peuvent-ils contribuer à faire pression sur les autorités pour obtenir la libération de Stanis Bujakera et mettre fin à l'injustice qu'il subit ? Cette question soulève des enjeux cruciaux liés à la liberté de la presse, aux droits de l'homme et à la lutte contre l'impunité.

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Image de Société. Depuis plus de sept semaines, Stanis Bujakera, le directeur de publication adjoint d'Actualité, est détenu à la prison de Makala, et la mobilisation en sa faveur ne cesse de croître. Au-delà des journalistes et des militants de défense des droits de l'homme qui ont exprimé leur solidarité avec lui, c'est maintenant au tour des caricaturistes de presse de se joindre à cette campagne de soutien en utilisant leur art pour faire passer un message fort. La campagne #FreeStanis a été lancée pour attirer l'attention sur le sort de Stanis Bujakera, correspondant de Jeune Afrique et de Reuters, arrêté depuis le 8 septembre. Il est actuellement jugé devant le tribunal de Grande Instance de Kinshasa Gombe pour plusieurs chefs d'accusation, notamment "faux en écriture", "falsification des sceaux de l'État", "propagation de faux bruits" et "transmission de messages erronés et contraires à la loi". Ces accusations pourraient lui valoir jusqu'à dix ans de prison. Ses avocats dénoncent fermement une accusation montée de toutes pièces. La campagne #FreeStanis a mobilisé un grand nombre de personnes, y compris des caricaturistes de presse et des artistes, sous l'impulsion de Damien Glez, dessinateur franco-burkinabé et confrère de Stanis Bujakera à Jeune Afrique. Glez a sollicité le réseau Cartooning for Peace, composé de dessinateurs de presse engagés, pour exprimer leur solidarité avec Stanis Bujakera à travers leurs créations artistiques. Plusieurs dessinateurs de presse ont déjà répondu à cet appel, chacun utilisant son style distinct pour dénoncer l'arrestation et la détention de Stanis Bujakera. D'autres artistes, membres du réseau Africartoons, ont également promis de contribuer à cette initiative. Ce projet met en lumière le pouvoir de la caricature pour transmettre des messages complexes de manière rapide et accessible à un large public. Les caricaturistes de presse sont des défenseurs de la liberté d'expression, et leur engagement en faveur de la cause de Stanis Bujakera témoigne de leur solidarité avec leurs confrères des médias dont les droits fondamentaux sont bafoués. La mobilisation autour de la campagne #FreeStanis a suscité un large soutien, avec plus d'une centaine de personnalités et d'organisations congolaises, africaines et internationales exprimant leur indignation face à cette affaire. Des vidéos de soutien ont été diffusées, atteignant des millions de téléspectateurs à travers le monde. La prochaine audience dans le procès de Stanis Bujakera est prévue pour le 3 novembre. Ses avocats continueront de plaider en faveur de sa libération provisoire. La question qui se pose est la suivante : comment les efforts conjoints de la société civile, des médias, des organisations internationales et des caricaturistes de presse peuvent-ils contribuer à faire pression sur les autorités pour obtenir la libération de Stanis Bujakera et mettre fin à l'injustice qu'il subit ? Cette question soulève des enjeux cruciaux liés à la liberté de la presse, aux droits de l'homme et à la lutte contre l'impunité.

Deuxième Image de Société. Depuis plus de sept semaines, Stanis Bujakera, le directeur de publication adjoint d'Actualité, est détenu à la prison de Makala, et la mobilisation en sa faveur ne cesse de croître. Au-delà des journalistes et des militants de défense des droits de l'homme qui ont exprimé leur solidarité avec lui, c'est maintenant au tour des caricaturistes de presse de se joindre à cette campagne de soutien en utilisant leur art pour faire passer un message fort. La campagne #FreeStanis a été lancée pour attirer l'attention sur le sort de Stanis Bujakera, correspondant de Jeune Afrique et de Reuters, arrêté depuis le 8 septembre. Il est actuellement jugé devant le tribunal de Grande Instance de Kinshasa Gombe pour plusieurs chefs d'accusation, notamment "faux en écriture", "falsification des sceaux de l'État", "propagation de faux bruits" et "transmission de messages erronés et contraires à la loi". Ces accusations pourraient lui valoir jusqu'à dix ans de prison. Ses avocats dénoncent fermement une accusation montée de toutes pièces. La campagne #FreeStanis a mobilisé un grand nombre de personnes, y compris des caricaturistes de presse et des artistes, sous l'impulsion de Damien Glez, dessinateur franco-burkinabé et confrère de Stanis Bujakera à Jeune Afrique. Glez a sollicité le réseau Cartooning for Peace, composé de dessinateurs de presse engagés, pour exprimer leur solidarité avec Stanis Bujakera à travers leurs créations artistiques. Plusieurs dessinateurs de presse ont déjà répondu à cet appel, chacun utilisant son style distinct pour dénoncer l'arrestation et la détention de Stanis Bujakera. D'autres artistes, membres du réseau Africartoons, ont également promis de contribuer à cette initiative. Ce projet met en lumière le pouvoir de la caricature pour transmettre des messages complexes de manière rapide et accessible à un large public. Les caricaturistes de presse sont des défenseurs de la liberté d'expression, et leur engagement en faveur de la cause de Stanis Bujakera témoigne de leur solidarité avec leurs confrères des médias dont les droits fondamentaux sont bafoués. La mobilisation autour de la campagne #FreeStanis a suscité un large soutien, avec plus d'une centaine de personnalités et d'organisations congolaises, africaines et internationales exprimant leur indignation face à cette affaire. Des vidéos de soutien ont été diffusées, atteignant des millions de téléspectateurs à travers le monde. La prochaine audience dans le procès de Stanis Bujakera est prévue pour le 3 novembre. Ses avocats continueront de plaider en faveur de sa libération provisoire. La question qui se pose est la suivante : comment les efforts conjoints de la société civile, des médias, des organisations internationales et des caricaturistes de presse peuvent-ils contribuer à faire pression sur les autorités pour obtenir la libération de Stanis Bujakera et mettre fin à l'injustice qu'il subit ? Cette question soulève des enjeux cruciaux liés à la liberté de la presse, aux droits de l'homme et à la lutte contre l'impunité.

Troisième Image de Société. Depuis plus de sept semaines, Stanis Bujakera, le directeur de publication adjoint d'Actualité, est détenu à la prison de Makala, et la mobilisation en sa faveur ne cesse de croître. Au-delà des journalistes et des militants de défense des droits de l'homme qui ont exprimé leur solidarité avec lui, c'est maintenant au tour des caricaturistes de presse de se joindre à cette campagne de soutien en utilisant leur art pour faire passer un message fort. La campagne #FreeStanis a été lancée pour attirer l'attention sur le sort de Stanis Bujakera, correspondant de Jeune Afrique et de Reuters, arrêté depuis le 8 septembre. Il est actuellement jugé devant le tribunal de Grande Instance de Kinshasa Gombe pour plusieurs chefs d'accusation, notamment "faux en écriture", "falsification des sceaux de l'État", "propagation de faux bruits" et "transmission de messages erronés et contraires à la loi". Ces accusations pourraient lui valoir jusqu'à dix ans de prison. Ses avocats dénoncent fermement une accusation montée de toutes pièces. La campagne #FreeStanis a mobilisé un grand nombre de personnes, y compris des caricaturistes de presse et des artistes, sous l'impulsion de Damien Glez, dessinateur franco-burkinabé et confrère de Stanis Bujakera à Jeune Afrique. Glez a sollicité le réseau Cartooning for Peace, composé de dessinateurs de presse engagés, pour exprimer leur solidarité avec Stanis Bujakera à travers leurs créations artistiques. Plusieurs dessinateurs de presse ont déjà répondu à cet appel, chacun utilisant son style distinct pour dénoncer l'arrestation et la détention de Stanis Bujakera. D'autres artistes, membres du réseau Africartoons, ont également promis de contribuer à cette initiative. Ce projet met en lumière le pouvoir de la caricature pour transmettre des messages complexes de manière rapide et accessible à un large public. Les caricaturistes de presse sont des défenseurs de la liberté d'expression, et leur engagement en faveur de la cause de Stanis Bujakera témoigne de leur solidarité avec leurs confrères des médias dont les droits fondamentaux sont bafoués. La mobilisation autour de la campagne #FreeStanis a suscité un large soutien, avec plus d'une centaine de personnalités et d'organisations congolaises, africaines et internationales exprimant leur indignation face à cette affaire. Des vidéos de soutien ont été diffusées, atteignant des millions de téléspectateurs à travers le monde. La prochaine audience dans le procès de Stanis Bujakera est prévue pour le 3 novembre. Ses avocats continueront de plaider en faveur de sa libération provisoire. La question qui se pose est la suivante : comment les efforts conjoints de la société civile, des médias, des organisations internationales et des caricaturistes de presse peuvent-ils contribuer à faire pression sur les autorités pour obtenir la libération de Stanis Bujakera et mettre fin à l'injustice qu'il subit ? Cette question soulève des enjeux cruciaux liés à la liberté de la presse, aux droits de l'homme et à la lutte contre l'impunité.

Quatrième Image de Société. Depuis plus de sept semaines, Stanis Bujakera, le directeur de publication adjoint d'Actualité, est détenu à la prison de Makala, et la mobilisation en sa faveur ne cesse de croître. Au-delà des journalistes et des militants de défense des droits de l'homme qui ont exprimé leur solidarité avec lui, c'est maintenant au tour des caricaturistes de presse de se joindre à cette campagne de soutien en utilisant leur art pour faire passer un message fort. La campagne #FreeStanis a été lancée pour attirer l'attention sur le sort de Stanis Bujakera, correspondant de Jeune Afrique et de Reuters, arrêté depuis le 8 septembre. Il est actuellement jugé devant le tribunal de Grande Instance de Kinshasa Gombe pour plusieurs chefs d'accusation, notamment "faux en écriture", "falsification des sceaux de l'État", "propagation de faux bruits" et "transmission de messages erronés et contraires à la loi". Ces accusations pourraient lui valoir jusqu'à dix ans de prison. Ses avocats dénoncent fermement une accusation montée de toutes pièces. La campagne #FreeStanis a mobilisé un grand nombre de personnes, y compris des caricaturistes de presse et des artistes, sous l'impulsion de Damien Glez, dessinateur franco-burkinabé et confrère de Stanis Bujakera à Jeune Afrique. Glez a sollicité le réseau Cartooning for Peace, composé de dessinateurs de presse engagés, pour exprimer leur solidarité avec Stanis Bujakera à travers leurs créations artistiques. Plusieurs dessinateurs de presse ont déjà répondu à cet appel, chacun utilisant son style distinct pour dénoncer l'arrestation et la détention de Stanis Bujakera. D'autres artistes, membres du réseau Africartoons, ont également promis de contribuer à cette initiative. Ce projet met en lumière le pouvoir de la caricature pour transmettre des messages complexes de manière rapide et accessible à un large public. Les caricaturistes de presse sont des défenseurs de la liberté d'expression, et leur engagement en faveur de la cause de Stanis Bujakera témoigne de leur solidarité avec leurs confrères des médias dont les droits fondamentaux sont bafoués. La mobilisation autour de la campagne #FreeStanis a suscité un large soutien, avec plus d'une centaine de personnalités et d'organisations congolaises, africaines et internationales exprimant leur indignation face à cette affaire. Des vidéos de soutien ont été diffusées, atteignant des millions de téléspectateurs à travers le monde. La prochaine audience dans le procès de Stanis Bujakera est prévue pour le 3 novembre. Ses avocats continueront de plaider en faveur de sa libération provisoire. La question qui se pose est la suivante : comment les efforts conjoints de la société civile, des médias, des organisations internationales et des caricaturistes de presse peuvent-ils contribuer à faire pression sur les autorités pour obtenir la libération de Stanis Bujakera et mettre fin à l'injustice qu'il subit ? Cette question soulève des enjeux cruciaux liés à la liberté de la presse, aux droits de l'homme et à la lutte contre l'impunité.

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